Parole à Lucie pour son premier reportage en qualité de stagiaire à Syntaxe Erreur 2.0 Gueugnon
Syntaxe Erreur 2.0 a pour habitude de recevoir de nombreux stagiaires ou services civiques au cours de l’année. En effet au sein de l’association ce sont deux stagiaires et un service civique qui les accompagnent depuis peu …
Lucie LAMORLETTE
En stage pour une durée de deux mois dans le cadre de mon Diplôme et étant étudiante en DNMADE Numérique 2ème années à Aurillac j’ai décidée de prendre Syntaxe Erreur en tant que structure pour mon stage.
En effet j’ai effectuée depuis déjà un mois différentes tâches en rapport avec mon diplôme tel que : la conception d’affiches, de cartons d’invitations, de flyers, le rafraîchissement de certaines diapositive, l’écriture d’article, la conception d’illustrations et de graphiques, l’animation auprès de jeunes sur l’utilisations de certains logiciels …
« J’ai toujours quelque chose de différents à faire et c’est ce que j’aime, même s’il m’est parfois difficile de m’organiser. L’équipe est toujours au petit soin et de bon conseil. De plus les compétences des salariés et bénévoles sont multiples, ce qui me permet de toujours en découvrir et en apprendre plus. » Je poursuis en insistant sur la diversification des projets que j’effectue. « J’ai de la chance que l’on me confie des projets aussi importants que la communication des 40 ans. »
Didier mon tuteur de stage m’apporte une meilleure connaissance des différents réseaux de communication et m’implique dans des déplacements novateurs « speed-meeting« , podcast radio, reportage TV France3 …
Pour conclure je répond à ma propre question en employant le mot : « SOLIDAIRE » pour qualifier l’association en ajoutant que tout le monde est complémentaire au sein de l’équipe et que l’on a toujours quelque chose à apprendre de l’autre.
Melvyn BOIVIN
Arrivé tout récemment, le 13 Juin 2023 Melvyn est en service civique j’jusqu’en février 2024 au sein de l’association mais tout particulièrement au cœur du Pôle FABLABINOX. Il à 18 ans et ne connaissait que vaguement l’association.
Par le bouche à oreille et la mise en lien avec la mission locale il a finalement décidé de découvrir plus amplement l’association afin d’y affecter son service civique.
Ce qui l’a convaincu c’est son envie de découvrir et d’apprendre alors il a saisie cette opportunité.
Il à été agréablement surpris par l’ambiance conviviale de l’équipe et son propre intérêt grandissants pour les nouvelles technologies. Il dit : « l’imprimante 3D et la conception 3D est devenue un intérêt grandissant et aller aux contacts des autres lors d’intervention me plaît aussi beaucoup. » On peut constater par ces mots que son expérience se passe pour le mieux.
Effectivement sa responsable Stéphanie nous décrit son début de service comme n’étant pas évident à cause du bon nombre d’ interventions mais qu’il s’acclimate plutôt bien car il s’investit. Elle ajoute qu’elle a remarqué son intérêt pour la 3D et qu’il continuera de développer celui-ci mais qu’il lui reste tout de même encore beaucoup de choses à découvrir. »
Pour conclure Melvyn a aussi dû répondre à ma petite question. Si tu devais d’écrire l’Association en un mot ce serait … et après réflexion il a répondu : CONVIVIALITÉ en me disant que l’équipe était vraiment agréable et solidaire entres eux.
Mahel LAVOCAT
Mahel LAVOCAT un jeune étudiant de Seconde au Lycée Claudie Maignere à Blanzy qui les à rejoint. Il avait déjà fait un stage de découverte en observation pour trois semaines à Syntaxe Erreur mais il souhaitait effectuer son second stage d’1 mois au sein de la même enseigne.
Il dit : « je connaissais déjà la structure et ses équipes mais j’étais loin d’avoir tout découvert … »
Effectivement il raconte qu’il a pus enrichir ses connaissances au travers de nombreuses activités tel que : la gestion du stockage, la soudure, le flash de tablettes, le démantèlement, le reconditionnement d’appareils numériques ainsi que l’initiation à la 3D au sein du Pôle ORDI 3.0 et du Pôle FABLABINOX.
Bessem son maître de stage nous l’a décrit comme : « plus autonome dans les tâches qu’on a pu lui donner et plus actifs car il a expérimenté et fait de nombreuses missions plus complexes et il a parfois même dû se déplacer. »
Pour conclure, je lui ai demandé de me décrire l’association en un mot mais il à premièrement hésité pour finalement employer le terme : « RICHE » en insistant sur la variété d’activités qu’il a pu expérimenter. Puis il a ajouté que « si c’était à refaire il le ferait et que c’était vraiment une bonne expérience. »